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Cosmic Trip n°8

29 et 30/06/04

Les groupes se succédaient sur scène sans nous laisser une minute de repos. L'alcool coulait à flots. Le cosmic trip n°8 ? On aimerait bien en passer plus souvent des week end comme ça. La fièvre rock'n'roll déja bien élevé suite au virus Guitar Wolf allait faire exploser tous les thérmomètres.

La programmation est variée et hétéroclite (surf, punk, 60's beat), la roller The firewalkersasso organisatrice du festival ratisse large et j'allais faire un maximum de découvertes. Faut dire, sur les treize groupes programmés j'en connaissais seulement trois. En attendant l'ouverture des hostilités je retrouve les star and Key of the indian ocean et je sympathise avec les Hot Flowers de Bordeaux autour d'un apéro de l'amitié. Ils me décrivent leur musique comme un croisement entre le Blues Explosion (chouette) et Sonic Youth (moins chouette). Ils jouent le lendemain on verra bien comment ça sonne.

On vient juste de se mettre à table quand les Hawaï Samuraï entament leur set. Je me dirige vers la salle. leur surf est plus qu'agréable et c'est une tres bonne mise en bouche. Mais ventre affamé n'a pas d'oreilles. Et comme je suis doué, je loupe aussi la majeur partie du set des Firewalkers. Dommage pour moi leur High Garage Rock Energy avait l'air bien sympa et bien entrainant.The Titty Twisters Orchestra Me souviens juste d'une chanson évoquant le Gun Club.

Je fais un effort et je ne loupe pas le début du Titty Twisters Orchestra. Tant mieux, ces italiens sont une véritables machines à danser. Des cuivres, du twist, et moi dansant comme un tit fou, voilà ce dont je me souviens. Si vous voulez une description plus précise emmenez les voir à nouveau !!!! Mais je me rappelle d'un tres bon set, héhéhé !

Qui n'est rien comparé à la déferlante Neurotic Swinger, assurément LA claque de la soirée. Intense, vif tranchant et furieusementNeurotic Swingers rock'n'roll, les marseillais gagnent par KO sonic. Pipeline de Dick Dale en intro puis c'est tout artrats et what's your definition of the underground qui défilent. Mais oublier ces deux albums et foncer les voir sur scène. C'est là que tout se passe et c'est cent fois meilleur. Ah quelle bande de poseurs. C'était énorme. Punk Rock !

Il reste encore un groupe à passer. Comment peut-on jouer après les Neurotic Swingers ? Et là The Wildbeests assurent l'affaire comme il The Star and key of the indian oceanfaut. In the right place at the right time leur garage 60's plus calme permet d'atterir en douceur après le punk rock des méditerranéens. Apres cette dernière dose de rock'n'roll live pour la soirée, des dj's prennent le relais et continuent à chauffer la salle durant toute la nuit.

Le lendemain à l'heure de l'apéro, je loupe Diane & le gogo club et The Delta Bonds. J'arrive au Germinal juste à temps pour la reprise des hostilités. Comme la veille c'est avec du surf que l'on se met en condition. Les nantais de Star and key of the indian ocean sont à l'honneur nous met dans de bonnes conditions pour passer une autre soirée à bouger son cul sur les rythmes les plus endiablés, sauf que là...

Sauf que là un savant dosage whisky-coca/bédo allait me retourner la tete à m'en faire louper la performance des belges de Catacombo. Pendant ce temps Hot Flowers s'installe dans le hall. Ils joueront trois fois, à chaque fois entre les autres groupes comme ça pas de temps mort. Leur musique est sympa quand le tempoThe hara-kee-rees est énergique mais beaucoup moinsThe Hot Flowers excitante sur les morceaux long et plus lent (et plus chiant).

Quand je remets les pieds dans la salle, Swine Fever joue. Quel funk totalement insipide, je ressors. Je reviens pour The hara-kee-rees. Allemand, c'est leur premier concert en France et leur chanteur a préparé un petit mot en français. C'est cool non ? Aussitôt apres le groupe envoye la sauce et là c'est plus que cool. La musique te prend la gorge et te traine jusqu'à la piste de danse. Orgue et chanteur possédé, voilà qui sent bon le garage sixties le plus sauvage. Un pur moment d'euphorie. A noter que le clavier, Torben tient le sax chez King Khan & his shrines.

Enfin Los Banditos était le dernier groupe à passer. Le rythme de leur premier morceau me fit l'effet d'une berceuse et je m'endormis raide mort. Apparament j'ai loupé un bon petit set, dommage. Ensuite les dj's reprennaient le pouvoir pour cloturer le festival.

Fifi

Les photos de cet article ont été prises par Alain Marie et proviennent du site http://alain.marie2.free.fr/